Comment l’innovation défie la peur de l’échec en entrepreneuriat
Dans le contexte professionnel, la PEUR de l’ECHEC, ce petit monstre tapi dans l’ombre représente-t-il un frein ou un tremplin vers la réussite et l’innovation ?
Vous savez quoi ? Bien sûr, vous craignez de trébucher, vous ressentez le syndrome de l’imposteur, de l’appréhension face à l’idée d’atteindre vos objectifs. C’est une émotion universelle !
Arrêtez de vous voiler la face, la peur de l’échec a un impact majeur pour rebondir. Embrassez-la plutôt comme un mentor !
Elle influence chaque recoin de l’entreprise, à tous les niveaux ? Accrochez-vous, car vous êtes sur le point de démystifier cette peur et découvrons ensemble comment la rendre moins effrayante et beaucoup plus excitante.
Que vous soyez dirigeant, manager ou employé, chaque partie de cet écosystème ressent l’impact potentiel de la peur de l’échec.
Au sein de l’entrepreneuriat, cette peur devient le carburant qui vous pousse à sortir des sentiers battus. Pour les managers, vous guidez votre équipe pour révolutionner votre marché. Vous adoptez une perspective positive face à l’échec.
Et pour les employés, devinez quoi encore ? Vous explorez de nouvelles compétences, vous partagez vos défis et vous célébrez ensemble vos victoires.
Comment ça marche ?
I. La peur de l’échec de l’entrepreneur
A- Les différentes pressions
En tant que chef d’entreprise, vous êtes confrontés à une multitude de pressions. Entre la gestion financière, la satisfaction des clients, la concurrence… le tableau est incomplet sans votre invité d’honneur la « peur de l’échec dans vos affaires ».
Pourquoi la diaboliser alors que la santé de votre entreprise vous garde éveillés et toujours en quête d’excellence ?
Une étude s’attarde sur la relation entre le statut de dirigeant et la peur d’échouer. La suite, vous la connaissez… Plusieurs maux affectent ce type de position :
- 57% des dirigeants se plaignent de mal de dos
- 48% de douleurs articulaires
- 27% de migraines
A cela, vous ajoutez l’anxiété, la fatigue et le manque de sommeil. Une marmite explosive !
Pensez à la gestion du stress, une solution pour booster votre performance, être heureux au travail et améliorer l’ambiance de l’entreprise.
D’où vient ce stress ? Et bien notamment de la peur de l’échec ! Que se passe-t-il si ce contrat tombe à l’eau ? Vais-je réussir à faire mon chiffre d’affaires ce mois-ci ?
Un peu de pression, ça stimule les neurones, n’est-ce-pas ?
B -Stratégies pour surmonter la peur de l’échec
Gagnez en confiance, en audace pour mieux surmonter vos soucis !
Vous croyez en vous ! Vous savez prendre des risques, défendre vos idées et vos choix de décisions. La solution à votre problème est en vous !
Pour gérer ce type de stress en plusieurs étapes :
- Identifier la source : Cette peur de l’échec découle souvent de diverses origines. . En premier, vous êtes un humain et un créateur ! En deux, vous avez un cerveau et une petite voie qui vous raconte le pire des scénarios inimaginables.
Un client potentiel commence à se désister. Mon offre déçoit. Mon entreprise va droit vers le mur… NON ! Arrêtez et identifiez le facteur à l’origine de votre angoisse.
Grâce à un travail d’introspection, détectez les possibles sources d’anxiété.
2. Réfléchir à des solutions : Pourquoi votre client se désiste ?
Listez les différentes raisons pour lesquelles ce client change d’avis.
Assurez-vous que vous répondez à tous ses besoins !
3. Demander un soutien : Pour un leader, admettre le besoin d’assistance, semble démontrer une faille. Bien au contraire, reconnaitre vos limites et solliciter de l’aide révèle une force de caractère et non de faiblesse.
Un conseil simple qui en vaut des milliers ! Vous donnez le meilleur de vous-même, aucun regret ! Passez à autre chose et apprenez de cet échec ! Écrivez sur un carnet toutes vos réussites et vos échecs pour avancer dans la bonne direction.
39% des dirigeants souhaitent être accompagnés par un professionnel pour affronter le stress et la peur de l’échec. ELM Company est là pour vous. Contactez-nous et n’hésitez pas à demander de l’aide !
II. La peur de l’échec du manager
A Les différentes pressions
Vous êtes un manager performant et recherchez constamment l’équilibre entre des objectifs ambitieux pour l’entreprise et le bien être de votre équipe. Votre but final est de créer l’harmonie sans perdre de vue le résultat. Un véritable stress !
Face à ces nombreuses tensions, notamment la peur de l’échec, vous prenez des risques et vous sortez de zone de confort pour un management d’équipe efficace.
Ce super post de Rafael Medina, manager, doit résonner dans votre vie. Il vous invite à comprendre cette peur de l’échec.
2 français sur 3 se rendent au travail avec la peur au ventre. Plusieurs raisons poussent un manager à repousser l’échec, sa plus grande peur :
- La réaction de l’équipe : En tant que leader de votre équipe, vous êtes confrontés aux réactions des autres vis-à-vis de vos choix. La peur et l’inquiétude demeurent immenses et le regard des autres représente un véritable poids.
- Le rôle d’intermédiaire : Votre position d’intermédiaire entre le dirigeant et le salarié implique d’encourager les initiatives novatrices et parfois accepter l’échec dans le processus. Votre pression est double !
- La peur des autres : Le véritable défi pour le manager réside dans la capacité à métamorphoser la peur de l’échec en un élan dynamique de toute l’équipe. Une opportunité d’engagement, où le manager invite son équipe à partager leurs pensées et leurs solutions, pour créer un dialogue ouvert.
Votre rôle de manager encourage une approche positive de l’échec. Pour cela, vous agissez de manière méthodique, productive et vous vous surpassez !
Vous abordez avec enthousiasme chaque obstacle comme une précieuse opportunité d’apprentissage et de croissance collective.
Je n’échoue jamais soit je réussis soit j’apprends
Nelson Mandela
B – Conseils pour les managers sur la gestion de la pression et la résilience
Voir l’échec autrement : En tant que manager, vous affrontez l’échec. C’est tout sauf une finalité ! Prenez votre élan pour aller plus loin !
- Soyez créatif : La créativité vous permet de vous épanouir et d’éloigner cette peur de l’échec ! Lors de vos réunions, utilisez les Mind Maps avec vos collaborateurs. pour une meilleure vision et clarifier vos idées. Ils vous en remercient !
- Renseignez-vous : La peur de l’échec existe naturellement et pourtant combattable. De nombreuses conférences existent pour discuter et apprendre à apprivoiser cette émotion. Hervé Franceschi propose des conférences en lien avec ce sujet.
Vous, Managers ! Approchez-vous ! Suivez ces conseils et surmontez votre peur. Nous avons confiance en vous !
III. La peur de l’échec du salarié
A- Les différentes pressions
Êtes-vous ergophobe? Vous allez au travail la boule au ventre, impossible de rester devant votre ordinateur dans l’entreprise. Vous paniquez à l’idée de la recherche d’un emploi et de vous présenter pour un entretien d’embauche !
Cette peur de l’échec semble relever de différents facteurs :
– L’exigence d’un travail parfait.
– La pression hiérarchique.
– Les conséquences financières.
– Le manque de reconnaissance.
Actuellement en poste, vous vous appliquez avec sérieux dans votre travail, dans le but de sécuriser votre position. En tant qu’employé, vous répondez aux attentes de chaque personne et vous êtes déterminé à sortir de votre zone de confort. Votre engagement est tel que vous vous imposez une pression considérable, au point de craindre un éventuel échec.
Une autre raison trop souvent sous-estimée reste le regard des autres. Proches, collègues et supérieurs, tout ce beau monde vous attend au tournant pour vous solliciter et satisfaire à des objectifs, des besoins ou des responsabilités.
Ce climat de l’échec vous obsède et devient une angoisse importante dans votre vie, une mauvaise herbe réelle que vous souhaitez supprimer de votre quotidien.
B – Approches pour favoriser un environnement de travail positif
Le management organisationnel d’une entreprise assure un environnement sain pour vous sentir en sécurité, exprimer vos idées et apprendre de vos erreurs pour surmonter la peur.
En tant que salariés, vous abordez cette peur de l’échec de différentes manières :
- Echangez : Avec vos collègues, vos proches ou votre manager. Exprimez vos envies, vos faiblesses. Votre manager vous aide à travailler dans les meilleures conditions possibles.
- Équilibrez travail et loisirs : Efforcez-vous de minimiser le stress tant au bureau qu’à la maison. Construisez un havre de paix dans votre vie privée pour affronter avec énergie et sérénité les défis professionnels.
- Remettez-vous en question : Peut-être que votre épanouissement se trouve sous d’autres cieux. Se reconvertir représente une victoire face à la stagnation et la peur de l’échec. Osez !
Employés, ressentez-vous cette pression de la part de la hiérarchie et de l’opinion de vos collègues ? Que se passe-t-il si vous échouez ? Absolument Rien ! L’échec reste une étape pour trouver votre voie vers la réussite. Pensez à l’itération !
Conclusion
Peu importe votre situation, que vous soyez créateur, entrepreneur, manager ou salarié, vous vaincrez la peur de l’échec.
L’échec, de moins en moins tabou dans le monde de l’entreprise s’avère être un puissant levier pour une remise en question vers l’innovation et un facteur d’évolution personnelle.
Des figures emblématiques, comme Bill Gates ou Steve Jobs démontrent l’importance de l’échec dans le parcours vers le succès.
Cette peur vous empêche de performer au quotidien et de profiter pleinement de votre vie pro ou perso.
Chassez ces mauvaises idées et misez sur des conseils perspicaces pour vous construire un mental de résilience et apprendre de vos erreurs !
Et vous, quelle relation entretenez-vous avec la peur de l’échec ?
Partager en commentaires votre statut professionnel et vos expériences face à l’échec. Quels sont vos ressentis et comment avez-vous surmonté une telle situation ? (Une défaite, une remise en question, une étape vers le succès, un moyen de rebondir pour innover…)
En pleine création d’entreprise , je découvre le monde de l’entreprenariat et ses aléas depuis plusieurs mois ! Cet article tombe au bon moment 🙂 merci pour ces conseils pertinents !
Merci beaucoup pour ce commentaire ! Bonne chance avec la création de ton entreprise, n’hésites pas à me contacter si tu veux en discuter !
Merci pour cet article très intéressant sur ce sujet tellement universel. Ta manière de voir cette peur comme un guide ou un mentor plutôt qu’un frein est vraiment inspirante. Les stratégies et conseils que tu proposes, que ce soit pour les entrepreneurs, les managers ou les employés, offrent des pistes concrètes pour faire de l’échec un tremplin vers le succès. La citation de Nelson Mandela que tu as partagée résume parfaitement cette idée : « Je n’échoue jamais, soit je réussis, soit j’apprends. » Cela nous rappelle combien il est important d’être résilient et de toujours chercher à apprendre, peu importe les obstacles. Ton article est un rappel puissant que l’échec n’est pas une fin en soi, mais peut être un moteur d’innovation et de croissance personnelle, si on veut bien la voir comme tel ; )
Merci beaucoup pour ce commentaire !
Merci pour cet article. C’est un sujet très intéressant car tellement fréquent. En tant que psychologue je rencontre très souvent cette problématique chez mes patients. Il y en a parfois une autre même si c’est plus rare: la peur de la réussite.
Merci beaucoup pour ce commentaire ! En effet, la peur de la réussite est tout aussi impactante. J’en parle dans un des commentaires. Avec ton expérience, quel est ton point de vue sur la peur de réussir ? Comment y faire face ?
Je pense que l’on a tous des peurs. On voit surtout que le chemin ne se fait jamais en ligne droite. J’essaie de mon côté de positiver et de me dire qu’il ne s’agit pas d’un échec mais une expérience. Merci pour cet article eclairant
Merci beaucoup pour ce commentaire Freddy ! En effet, relativiser est LA solution !
Ha la peur de l’échec dans le monde professionnel ! Avec en particulier de très bons conseils pour les managers sur la gestion de la pression et la résilience. La suggestion de voir l’échec comme une opportunité d’apprentissage est très inspirante car elle change tout l’état d’esprit de l’équipe et de ses résultats: on ose, on teste, on passe à l’action plus facilement. Merci pour cet article plein d’enseignements !
Merci beaucoup pour ce commentaire !
Merci Edouard pour cet article.
J’ai eu la chance d’avoir mon dernier poste de salarié dans une société américaine, les américains pensent que pour arriver au succès, il est rare de ne pas connaître l’échec.
J’aime beaucoup et j’adhère totalement à la citation de Mandela :
Je n’échoue jamais soit je réussis soit j’apprends
Cette phrase est superbe.
Merci beaucoup Diane pour ce commentaire ! C’est vrai que la mentalité américaine est totalement différente à ce sujet, on pourrait même dire qu’ils encouragent cet échec ! En effet, cette citation est simple mais tellement parlante !
Merci beaucoup pour cet article. Personnellement, ma relation avec la peur de l’échec a oscillé entre défi et découragement. Au début de ma carrière c’était une source d’anxiété. Puis, elle s’est progressivement muée en catalyseur de développement personnel. Aujourd’hui, j’accepte l’échec comme partie intégrante du processus d’apprentissage, en cherchant des leçons pour affiner mes stratégies futures.
Merci beaucoup pour ce commentaire ! C’est exactement ça ! Il faut analyser ces échecs et les utiliser à bon escient. Pour connaître la réussite, il faut ressentir l’échec !
Cette peur peut être paralysante, car elle conduit à éviter de prendre des risques ou à s’engager dans de nouvelles entreprises par crainte de l’échec potentiel. Elle est souvent alimentée par des expériences passées négatives. La peur de l’échec peut avoir des impacts significatifs sur le bien-être émotionnel et mental d’une personne. Elle limite notre capacité à réaliser pleinement notre but. On doit vraiment se libérer de cette peur.
Merci beaucoup pour ce commentaire ! En effet, le passé a souvent un rôle à jouer. Se libérer de cette peur, c’est peut être ça la vraie liberté !
Ah la peur, cette émotion qui peut à la fois nous bloquer, ou nous pousser à agir.
L’article est très complet et surtout pragmatique. Il donne de réel clé pour comprendre le processus et agir. La peur de l’échec est inculqué dès notre plus jeune âge, et fièrement entretenue par le système scolaire. Lorsque l’on dit à un enfant « attention ne fait pas ci, ne fait pas ça », « attention ne fait pas tomber, ce n’est pas bien », « oh il / elle ne parle pas encore par rapport aux autres », « avoir de bons résultats pour faire plaisir, pour réussir sa vie »… Bref, compliqué après adulte de se lancer, avec sécurité, mais se lancer.
Je pense qu’effectivement identifier la source de ses peurs, pour arriver à couper les liens construits par la l’éducation et la société est une étape cruciale.
J’aime accompagner à déconstruire les peurs des personnes en leur posant ces questions « quelles sont les risques ? Si vous échouez, qu’est ce qui se passe ? Qu’est ce que vous faites? »
On retrouve des peurs chez tout le monde, même chez des responsables, gérant, qui par exemple auront peur de faire différemment et resteront dans leur zone d’habitude, même si cela ne fonctionne pas …
Merci beaucoup pour ce commentaire ! En effet, les mots que l’on entends plus jeune peuvent résonner des années plus tard. Je pense que ta méthode doit vraiment être superbe. Poser des questions et laisser ces personnes réfléchir d’elles-mêmes doit vraiment être bénéfique. Sortir de sa zone d’habitude est une étape mentale souvent nécessaire pour évoluer c’est vrai ! Quels types de questions poses-tu pour déceler ces peurs ?
Merci pour cet article. Il est bien vrai que la peur de l’échec est à tous les niveaux dans une entreprise. Belle perspective la tienne pour nous expliquer comment la surmonter. J’aime beaucoup l’idée de se pencher sur le nouveau
Merci beaucoup pour ce commentaire Béatrice !
Merci pour cet article. J’ai apprécié l’analyse de la peur de l’échec des 2 côtés, entrepreneur et salarié. Car je me suis situe dans les 2 camps avec un projet professionnel en parallèle de mon emploi salarié.
En te lisant, je comprends que ce je ressens est « normal »;-) J’ai noté quelques solutions que tu proposes, notamment l’équilibre travail-loisirs.
Merci pour ce commentaire Naomie ! Je comprends ce que tu dis, avoir ce double-statut peut être compliqué mais comme tu le dis c’est normal. Cela fait partie du jeu et à la fin, lorsque tout tes projets se réalisent, la fierté prends le relais !
Très interessant ton article, effectivement nous avons tous des peurs. Effectivement dans ce que tu décris, la peur de l’echec est plus accentuée en étant entrepreneur dans le sens ou l’on a plus la sécurité financière que l’on a en étant salarié. Personnellement je pars du principe que la vie est un apprentissage et que j’ai décié d’être actrice de ma vie et d’aller jusqu’au bout. Que penses-tu de la peur de réussir?
Merci beaucoup pour ton commentaire ! C’est en effet cette sécurité financière qui disparaît pendant un certains temps et qui donne ce sentiment d’être toujours dans une sorte de course poursuite qui, mal gérée, peut être contraignante. Aaah la peur de réussir. Elle peut être dû à plusieurs raisons comme l’impression de ne pas mériter cette réussite. Elle est très paradoxale puisque sur le chemin de la réussite, malgré tout les efforts réalisés, la personne pense qu’elle ne mérite pas ce succès. Pourtant, si elle doit sa réussite à quelqu’un c’est bien à elle. La chance, le destin ou d’autres croyances qui pourraient jouer un rôle n’auraient aucun impact si aucun effort n’étaient réalisé. En réalité, on est peut-être témoin d’opportunités mais savoir les saisir c’est tout à fait différent. Personnellement, j’ai déjà ressenti ce sentiment ne pas mérité ce que j’ai, dans la plupart des cas c’est grâce à mes proches que je suis passé outre. Je me dis que peu importe tout ces ressentis, je veux réussir coûte que coûte ! Et toi qu’en penses-tu ?
Pour les managers, l’article souligne les défis de leur position intermédiaire, entre les attentes de la direction et le bien-être de leur équipe. Là encore, l’accent est mis sur la nécessité de voir l’échec comme une opportunité d’apprentissage plutôt qu’une fatalité.
Pour les employés, la peur de l’échec peut être alimentée par des facteurs comme l’exigence de perfection ou la pression hiérarchique. Mais l’auteur encourage à adopter une approche positive, en équilibrant vie professionnelle et personnelle, et en osant se remettre en question.
Cet article offre une vision équilibrée et bienveillante de la peur de l’échec, en en faisant un levier de croissance plutôt qu’un frein. Les conseils pratiques et les témoignages en font une lecture stimulante et encourageante pour tous ceux qui souhaitent surmonter cette peur dans leur carrière.
Merci beaucoup pour ce commentaire !